Herunterladen Inhalt Inhalt Diese Seite drucken

Electrolux 2eMs6004O Benutzerhandbuch Seite 12

Vorschau ausblenden Andere Handbücher für 2eMs6004O:
Inhaltsverzeichnis

Werbung

12
BIEL BIENNE 23. / 24. NOVEMBER 2005
GESUNDHEIT
Kinder: Immer dicker
Statt Gemüse und Salat
verschlingen Bieler Schüler
Kebab und Hamburger.
VON
Er ist der Letzte, der beim
ANDREA
Völkerball gewählt wird. Er
ZIMMERMANN
steht abseits, wenn die ande-
ren Kinder im Pausenhof spie-
len. Er geht allein, wenn an-
dere händchenhaltend nach
Hause spazieren. Übergewich-
tige Kinder haben einen
schweren Stand. Und die Pro-
blematik nimmt zu: Immer
mehr
Schweizer
zwischen
sechs und zwölf Jahren sind zu
dick und die Bieler Kids bilden
da keine Ausnahme.
BMI.
Die Studie des Labors
für Humanernährung der ETH
Zürich legt die Fakten auf den
Tisch: In den letzten 20 Jahren
hat sich die Zahl der überge-
wichtigen
Kinder
verdrei-
facht, diejenige der fettleibi-
gen beinahe versechsfacht.
Die Zürcher Wissenschaft-
ler haben bei 2500 Kindern
den Body-Mass-Index (BMI)
bestimmt, indem sie das Kör-
pergewicht in Kilogramm (kg)
durch die Grösse in Meter im
Quadrat (m2) geteilt haben.
Wenn der BMI zwischen 26
und 30 liegt, sprechen Medizi-
ner von Übergewicht, bei
einem Index über 30 von Fett-
leibigkeit.
Faktoren.
Kinderarzt Jean
Klingler führt in Biel seit über
dreissig Jahren eine Praxis. Er
bestätigt die ETH-Studie: «Es
hat immer mehr übergewich-
tige Kinder in Biel.» Es gibt El-
tern, die zu ihm in die Praxis
kommen und seinen Rat su-
chen. Das sind die weniger
heiklen Fälle. Dann gibt es
jene, die vor dem Problem die
Augen
verschliessen.
«Die
kann ich nicht erreichen», er-
Polizei-Chronik
Eine Auswahl der Inter-
ventionen der Stadtpolizei
Biel vom 15. bis zum 21.
November 2005.
Bei Geschwindigkeits-
kontrollen am Blumenrain
und an der Aegertenstrasse
werden 555 Autos gemes-
sen. 107 sind zu schnell
unterwegs und werden ge-
büsst. Die höchste gefah-
rene Geschwindigkeit in
den beiden Tempo-30-
Zonen beträgt 52 km/h.
Die Stadtpolizei leistet
zweimal Hilfe an gebrechli-
che Personen, die aus dem
klärt der Arzt. Gründe, wes-
Im Kampf gegen die Kilos stehen
halb Kinder zu dick sind, gibt
es viele. Klingler nennt geneti-
sche Faktoren, kulturelle Hin-
Essverhalten muss langfristig
tergründe oder psychologi-
umgestellt werden», so Warm-
sche Momente als Ausschlag-
brodt. Damit das Gewicht auch
geber: «Dicksein ist auch Aus-
gehalten werden kann, müsse
druck seelischer Not.»
die ganze Familie mithelfen.
Pizza, Kebab und Schoko-
«Eltern sind die ersten und
lade, die ständig verfügbar
wichtigsten Vorbilder», sagt
sind, bilden das Polster für
Baspo-Direktor Remund, des-
späteres Übergewicht. «Junk-
sen Kinder viel Sport treiben.
Food ist in der Regel billiger
Hier liegt allerdings schon das
als Obst und Gemüse», erklärt
Hauptproblem bei der Bekämp-
die Lysser Ernährungsberate-
fung von Übergewicht: «Eltern
rin Judith Warmbrodt. Und
sind schlecht informiert», kon-
nicht nur dies: Kinder ver-
statiert Klingler. «Da bleibe ich
pflegen sich vor dem Fernse-
machtlos.»
her, surfen im Internet, spie-
len Videogames. «Der ge-
meinsame Familientisch fällt
weg», sagt Warmbrodt.
salade, les écoliers biennois
Baspo-Direktor Matthias
Remund nennt neben Fehl-
consomment de plus en plus de
ernährung auch Bewegungs-
mangel als Grund für Fettlei-
kebabs et de hamburgers.
bigkeit. Körperliche Aktivitä-
ten sollten nicht nur in Form
der obligatorischen Sportlek-
tionen ins Leben der Kinder
ANDREA
integriert sein, so Remund.
ZIMMERMANN
«Mehr Bewegung im Alltag ist
nötig. Die Kinder werden ver-
wöhnt und mit dem Auto zur
Schule gefahren.»
Risiko.
Übergewicht wird
vom Bundesamt für Gesund-
heit als das zurzeit grösste Ge-
sundheitsrisiko eingeschätzt.
Die Liste möglicher Folgen ist
lang: Lungenprobleme, Ge-
lenkerkrankungen, zu hoher
Blutdruck, zu viel Choleste-
rin, Krebs, Diabetes Typ II.
Warmbrodt kennt die Lang-
zeitfolgen von Gewichtspro-
blemen. «80 Prozent der über-
gewichtigen Kinder bleiben
es auch als Erwachsene.»
Experten sind sich einig: Je
früher mit der Bekämpfung be-
gonnen wird, desto besser.
Mehr Bewegung und gesündere
Ernährung sind nötig. «Das
Bett bzw. dem Rollstuhl ge-
Zwei Betrunkene werden
fallen waren und nicht sel-
festgenommen, die die
ber aufstehen konnten.
Panoramascheibe eines
Drei afrikanische Asylbe-
Restaurants eingeschlagen
werber werden wegen Miss-
haben. Weiter werden zwei
achtung von Wegweisungs-
Personen verhaftet, die
verfügungen angezeigt.
Schaufensterscheiben ein-
Drei Schweizer und drei
geschlagen haben
Ausländer verstossen gegen
und/oder versucht hatten,
das Betäubungsmittelge-
sich gewaltsam Zugang zu
setz. Die Polizei stellt
einem Ladenlokal zu ver-
Heroin, Kokain und Can-
schaffen.
nabis sicher.
Die Stadtpolizei steckt
Die Polizei nimmt einen
vier Betrunkene in die Aus-
Mann fest, der dringend ver-
nüchterungszelle. Sie
dächtigt wird, kurz vor sei-
konnten nicht mehr sich
ner Verhaftung Sprayereien
selbst überlassen werden ...
angebracht zu haben.
STORY
Kinder oft alleine da.
La rançon
de l'obésité
est bien
souvent la
solitude.
SANTÉ
De plus en plus dodus
n
Au lieu de légumes ou de
BMI) de chacun en divisant le
poids en kilogrammes (kg)
par la taille en mètres élevée
au carré (m2). Quand le BMI
se situe entre 26 et 30, les mé-
decins parlent de surcharge
pondérale, avec un index de
30, d'obésité.
PAR
Il est le dernier que ses co-
Facteurs.
pains appellent dans l'équipe
de balle assise. Il reste à l'écart
Klingler détient un cabinet
quand les autres enfants
médical depuis trente ans. Il
jouent dans le préau. Il
confirme les résultats de
marche seul alors que d'autres
l'étude. «Il y a toujours plus
rentrent chez eux, main dans
d'enfants obèses à Bienne.»
la main. Les enfants obèses vi-
Certains parents prennent
vent une situation difficile. La
rendez-vous pour être con-
problématique enfle: de plus
seillés. Ce sont les cas les
en plus de jeunes Helvètes
moins graves. Il y en a aussi
entre six et douze ans sont
qui refusent de voir le pro-
trop gras et les Biennois ne
blème. «Eux, je ne peux pas les
font pas exception.
atteindre», admet le médecin.
Les motifs d'une obésité in-
BMI.
L'étude réalisée par le
fantile peuvent être nom-
laboratoire de diététique hu-
breux. Jean Klingler énumère
maine de l'EPF à Zurich ne
les facteurs génétiques ou
cache pas les faits. Au cours
culturels, certains moments
des vingt années écoulées, le
psychologiques
nombre d'enfants en sur-
comme déclencheurs. «Etre
charge pondérale a triplé,
trop gros est aussi une mani-
celui de ceux qui sont obèses
festation de mal-être psy-
s'est multiplié par six.
chique.»
Ces scientifiques ont me-
Pizza, kebab et chocolat,
suré le taux de masse grais-
toujours sous la main, creu-
seuse (body-mass-index ou
sent le lit de l'obésité. «Le
Chronique policière
Aperçu des interventions
de la police municipale du
15 au 21 novembre 2005.
Des contrôles de vitesse
sont mis en place au Crêt-
des-Fleurs et à la rue d'Ae-
gerten. Sur 555 véhicules
contrôlés, 107 roulaient
trop vite, leurs conducteurs
ont été amendés. La plus
importante différence de vi-
tesse a été constatée dans
une zone 30, à 52
km/heure.
Les agents ont porté se-
cours à deux personnes en
difficulté qui ne pouvaient
BIEL BIENNE 23 / 24 NOVEMBRE 2005
junk-food est en principe
meilleur marché que les fruits
ou les légumes», rappelle
Judith Warmbrodt, diététi-
cienne à Lyss. Ce n'est pas
tout: les enfants se nourris-
sent devant la télévision, sur-
fent sur le web et participent
à des jeux vidéo. «La tablée
Le pédiatre Jean
commune familiale sombre»,
déplore la diététicienne.
Matthias Remund, direc-
teur de l'Office fédéral du
sport (OFSPO), additionne le
manque de mouvement à
l'hygiène
alimentaire
faillante comme origines de
l'obésité. Il estime que les ac-
tivités physiques ne doivent
pas être intégrées à la vie des
enfants uniquement avec les
leçons de sport obligatoires.
«Plus de mouvement dans le
quotidien est une nécessité.
Les enfants sont gâtés, ac-
compagnés en voiture à
l'école, chaque jour.»
spécifiques
Risques.
La surcharge
pondérale est, à ce jour,
considérée comme le plus
grand risque pour la santé par
l'Office fédéral de la santé pu-
blique. La liste des consé-
quences envisageables ne
pas se relever. L'une était
tombée du lit, l'autre de sa
chaise roulante.
Trois requérants d'asile
africains sont dénoncés
pour non-respect d'une in-
terdiction de territoire.
Trois ressortissants
suisses et trois étrangers
sont appréhendés pour
possession de narcotiques.
La police saisit de l'héroïne,
de la cocaïne et du canna-
bis.
La police arrête un
homme fortement suspecté
d'avoir participé à des
sprayages.
tarit pas: difficultés respira-
toires, maladies articulaires,
hypertension, taux de choles-
térol trop élevé, cancer, dia-
bète de type II. Judith Warm-
brodt connaît sur le bout du
doigt les conséquences à long
terme de la surcharge pondé-
rale. «80% des enfants obèses
le restent à l'âge adulte.»
Les experts sont una-
nimes. Plus le mal est com-
battu rapidement, meilleur
sera le résultat. Plus de mou-
vement et une meilleure hy-
dé-
giène alimentaire sont re-
quises. «Le comportement
alimentaire doit être modifié
sur le long terme», soutient la
diététicienne. Afin de pou-
voir conserver un poids idéal,
toute la famille doit être im-
pliquée.
«Les parents sont les pre-
miers et les plus importants
exemples», souligne le direc-
teur de l'OFSPO dont les en-
fants sont des sportifs aguer-
ris. Mais le problème majeur
du combat contre l'obésité ré-
side là: «Les parents sont mal
informés»,
constate
Jean
Klingler. «Et là, je reste im-
puissant.»
n
Deux personnes en état
d'ébriété sont arrêtées pour
avoir brisé la vitrine d'un
restaurant. Deux autres sont
appréhendées pour avoir
brisé ou tenté de briser une
vitrine d'exposition pour se
frayer un chemin vers un
local d'entreposage.
Quatre individus inca-
pables de discernement
sont conduits en cellule de
dégrisement.

Werbung

Inhaltsverzeichnis
loading

Inhaltsverzeichnis